Manon au lac de la Cavayère – Une séance entre nature et caractère
À quelques kilomètres de Carcassonne, le lac de la Cavayère offre un décor étonnant : sauvage, paisible, presque secret. C’est là que j’ai retrouvé Manon pour une séance en extérieur, dans une ambiance à la fois douce et affirmée.
Manon a cette présence qui capte l’attention sans effort. Devant l’objectif, elle oscille entre force tranquille et spontanéité. Le lieu, avec ses reflets d’eau, ses pins et ses sentiers, a enveloppé la séance d’une atmosphère intime et naturelle.
Chaque photo est une rencontre entre elle et le paysage. Pas de décor imposé, juste une harmonie entre sa personnalité et l’énergie du lieu. Ce genre de séance est idéal pour celles et ceux qui veulent des images qui leur ressemblent — simples, vraies, et ancrées dans un moment à part.
Manon à l’étang du Doul – Une séance entre sel, lumière et liberté
À Peyriac-de-Mer, l’étang du Doul offre un décor presque irréel. Ses passerelles de bois, ses eaux salées et ses reflets changeants créent une ambiance à part — entre terre et ciel, entre calme et intensité. C’est dans ce cadre unique que j’ai retrouvé Manon pour une séance en extérieur, à la fois libre et instinctive.
Manon s’est glissée dans le paysage avec une aisance naturelle. Elle a marché, respiré, joué avec le vent et la lumière. Chaque photo est le reflet de cette harmonie entre elle et le lieu : des images simples, vraies, où l’on sent la force tranquille et la douceur mêlées.
Ce genre de séance est une invitation à se reconnecter à soi, à s’offrir un moment hors du temps. Si vous aimez les ambiances brutes, les décors naturels et les portraits qui racontent une histoire, l’étang du Doul pourrait bien être le point de départ d’une belle aventure photographique.
Goulamas’K en concert – Énergie brute à Saint-Marcel-sur-Aude
Avril 2022, Saint-Marcel-sur-Aude. Le village vibre, les murs résonnent, et la scène s’enflamme sous les riffs des Goulamas’K. Ce soir-là, l’ambiance était électrique, festive, presque sauvage. Et mon appareil photo n’a pas eu le temps de souffler.
Photographier un concert, c’est capter l’instant avant qu’il ne s’échappe. Les regards entre musiciens, les cris du public, les corps en mouvement, la sueur, la lumière, le chaos organisé. Avec les Goulamas’K, tout est intense : la musique, les postures, les messages. Chaque image est une pulsation, un fragment de cette énergie collective.
Ce genre de reportage, c’est aussi une manière de raconter la vie locale, de mettre en lumière ceux qui font vibrer les territoires. Et ce soir-là, Saint-Marcel a vibré fort.