Manon à l’étang du Doul – Une séance entre sel, lumière et liberté

À Peyriac-de-Mer, l’étang du Doul offre un décor presque irréel. Ses passerelles de bois, ses eaux salées et ses reflets changeants créent une ambiance à part — entre terre et ciel, entre calme et intensité. C’est dans ce cadre unique que j’ai retrouvé Manon pour une séance en extérieur, à la fois libre et instinctive.

Manon s’est glissée dans le paysage avec une aisance naturelle. Elle a marché, respiré, joué avec le vent et la lumière. Chaque photo est le reflet de cette harmonie entre elle et le lieu : des images simples, vraies, où l’on sent la force tranquille et la douceur mêlées.

Ce genre de séance est une invitation à se reconnecter à soi, à s’offrir un moment hors du temps. Si vous aimez les ambiances brutes, les décors naturels et les portraits qui racontent une histoire, l’étang du Doul pourrait bien être le point de départ d’une belle aventure photographique.

































 

Goulamas’K en concert – Énergie brute à Saint-Marcel-sur-Aude

Avril 2022, Saint-Marcel-sur-Aude. Le village vibre, les murs résonnent, et la scène s’enflamme sous les riffs des Goulamas’K. Ce soir-là, l’ambiance était électrique, festive, presque sauvage. Et mon appareil photo n’a pas eu le temps de souffler.

Photographier un concert, c’est capter l’instant avant qu’il ne s’échappe. Les regards entre musiciens, les cris du public, les corps en mouvement, la sueur, la lumière, le chaos organisé. Avec les Goulamas’K, tout est intense : la musique, les postures, les messages. Chaque image est une pulsation, un fragment de cette énergie collective.

Ce genre de reportage, c’est aussi une manière de raconter la vie locale, de mettre en lumière ceux qui font vibrer les territoires. Et ce soir-là, Saint-Marcel a vibré fort.






 

Pole Dance Project – Célia, entre maîtrise et expression

Dans le studio de Pole Dance Project à Narbonne, la lumière est douce, l’espace épuré, et Célia entre en mouvement. Ici, la pole dance est bien plus qu’une discipline : c’est une forme d’art, une manière de se révéler, de s’affirmer.

Chaque figure demande force, concentration et élégance. Et pour le photographe, le défi est clair : capter l’instant précis où tout s’aligne. Figer le mouvement au moment juste, celui où le corps dessine une ligne parfaite, où l’énergie se lit dans le regard, où la posture devient image.

Célia incarne cette intensité. Elle alterne entre envolées et suspensions, entre puissance et fluidité. Le studio devient un écrin, la barre un axe, et chaque photo une trace de ce dialogue entre technique et émotion.